L’étanchéité d’un sac n’est pas vérifiable avant son achat. Les seuls qui peuvent réellement vous dire si un sac à dos moto est réellement étanche ou non, c’est le fabricant et les utilisateurs. Or, le fabricant a beau jeu de faire valoir ce critère pour son sac. Il sait que c’est un argument de vente et fera tout pour vous le faire croire. Sachez qu’il existe une législation et des normes européennes pour ce type de certification de l’étanchéité. Et rares sont les fabricants qui en ont une.
Il ne vous reste plus qu’à chercher des personnes ayant déjà acheté le sac dont vous rêvez. Une bonne manière de trouver des avis, c’est d’avoir recours aux forums et à Amazon où vous pourrez dénichez des avis clients valables et souvent véridiques. Vous verrez bien vite qu’il y a une différence entre ce qu’avance le fabricant et les résultats vécus. Surtout pour les sacs à dos de moins bonne fabrication…
Pour qu’un sac soit étanche, il faut qu’un sac à dos moto réponde à des normes. Le plus souvent, le constructeur se limite à quelques tests. Certains basiques, d’autres parfois plus poussés. Mais celui qui sera indéniablement concluant, c’est celui où on plonge un sac dans une bassine d’eau. Si l’eau transperce le sac, vous aurez votre réponse.
Optez pour l’imperméabilité !
Cela étant dit, beaucoup de sacs à dos moto sont imperméables. Et c’est vrai. Ils ne résistent pas tout à fait, mais empêche l’eau de passer, même quand il s’agit de grosses pluies. Le tout est de ne pas rester des heures sous la pluie battante… Pour cela, les fabricants ont recours à des matières synthétiques comme le polyester. Ou alors ils utilisent des membranes en plastique.
Sachez qu’il existe aussi des sprays et gels imperméabilisants qui rendent les tissus hydrophobes en créant un film à la surface.
Quoiqu’il en soit, l‘étanchéité, ne comptez donc pas trop dessus. Optez pour un sac à dos moto qui est imperméable et résistant aux intempéries. Et assurez-vous qu’il y ait des arguments pour le prouver. L’avis des autres motards sera un atout précieux.
